Un Parcours
Ainsi, idiotement, je m’apprêtai à repartir, comme le vagabond des légendes qui ne s’arrête nulle part, dont le chemine ment est la demeure ; j ’ écrivis à Mère. De suite Elle me répondit, le 8 janvier 1970 : « A Didier. Chacun porte le Divin en lui-même ; un Divin qui voit et sait tout quoiqu’Il soit invisible ; un Divin qui est prêt à devenir le guide infaillible si on apprend à L’écouter . Bénédictions. Mère »
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