Lettres à Divakar jusqu'à 2005

En tout cas, voilà des spectacles superbes et vivifiants : un temps frais, du vent et du soleil, et la mer qui semble exalter toutes ses couleurs à la marée montante (et surtout un vert émeraude étonnant) ; nous la regardons, du haut de Saint Malo, de Paramé, d’un promontoire à la Pointe du Décollé. Des heures où l’air semble forcer les poumons à s’ouvrir.

Après-demain retour à Paris. Je serai contente de revoir Gérard ; et aussi Gloria !

J’ai lu, au profond de mon cœur, la qualité du rythme que tu vis actuellement, et que tu mets en œuvre.

Je pense que c’est bien que Dominique soit revenue. Et j’espère que les médecins que Krishna a vus à Delhi sont compétents.

J’accompagne Auroville dans ses préparatifs pour février.

Voilà. A bientôt. On est ensemble, c’est formidable ! Je t’embrasse plein,

Colette.

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Mardi 18-9-84

Aimé,

Je me préparais à commencer cette lettre par certains « sujets » - que je reporte à la fin, car entre temps j’ai trouvé tes deux lettres… et que je veux y répondre avant

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