Lettres à Divakar jusqu'à 2005

Je pense à toi beaucoup. Et j’apprends, en attendant ta réponse ( !), à regarder les choses belles un peu plus sereinement.

Aucune nouvelle de Gérard, ce qui me fait présumer qu’il va rentrer fin août, et ce que j’espère.

… Nous rentrons à Paris le 9…

… De plus en plus, de mieux en mieux, la psychanalyse se place en moi, chassant les remous extrêmes et nécessaires qui ont marqué cette année mes pensées et impressions, ou mes dialogues avec Gaby. Et tu m’y as aidée considérablement, et de façon si ouverte et si disponible.

Rien d’autre à dire aujourd’hui.

Pour tout, tout, en tout, avec toi,

Colette.

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Dimanche 2-9-84

Aimé,

Il y a une éternité que je n’ai pas de lettre… … Bon. Alors j’aime pas ces jours sans nouvelles, mon « fond » habituel manque… ! On a donc passé 2 jours ½ en Normandie chez Guite. Et pendant que René était chez un ami, Guite m’a emmenée voir un prieuré très harmonieux et deux petits châteaux,

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