Lettres à Divakar jusqu'à 2005

Pensées qui se sont comme évanouies, ont reparu, ont cheminé, etc. Aujourd’hui elles me paraissent s’organiser et permettre un regard mieux distancié et donc plus conscient. Je t’en parlerai, à moins que tu ne préfères le silence ; j’aurai en tout cas, sois-en sûr, le souci de ne pas t’encombrer. Tu as assez à faire pour assimiler tout ça. Mais je crois que mes propres réflexions peuvent contribuer à un échange clair et constructif. A bientôt ! J’espère arriver plus « fraîche » que ce matin : j’ai un énorme rhume !

Revu Gérard à notre bistrot : il émerge, commence à se libérer.

Je suis pleinement avec toi,

Colette.

***

Après le séjour de Colette à Sincérité, qui dura près d’un mois. Mardi 17-4-84

Aimé,

Eh bien oui, je suis là au 27. J’ai recommencé à travailler hier après-midi, c’était mieux.

Je te le redis : ta présence jusqu’à Bombay a rendu les choses plus simples, elle a réduit cette insupportable distance géographique. Enfin, tu sais !

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