Lettres à Divakar jusqu'à 2005

Et j’ai tant et tant de vœux pour toi, qui sait si bien et si bellement donner ! Des vœux : « tiens bon ! ». Et que l’amour qui t’entoure soit le plus fort. Et ma fierté, elle est aussi que tu m’aies choisie. Et ma tendresse pour toujours, éternellement. Tout cela. Et puis, tout à l’heure, je vais apporter ici, au 27, le coffret de ces admirables images qui me touchent par leur qualité de Présence grâce peut-être à leur finesse profonde. Avec, aussi, le CD que j’aime. Dieu que tu es adorable, et d’une telle Présence … toi aussi ! Je crois avoir bien évalué hier les étapes horaires de ton vol vers Madras ; et suis presque sûre d’avoir été avec toi à l’heure de ton débarquement… (Mais apparemment je n’ai pas compté les péripéties anglaises… décidément !) … « Tiens bon… tiens bon… ! », je mets, là, toute l’énergie de base utile, à court et à long terme, et que je me sens capable d’appeler… Je suis à la recherche de l’itinéraire de marche quasi quotidienne qu’il me faut trouver – c’est l’évidence et ma fidélité à tes souhaits -, et qui me soit agréable. Je ne vois que le Luxembourg par la rue Vavin comme avec toi lundi, ou par le côté Closerie des Lilas/Observatoire… Mercredi

Jeudi

Hier j’ai « fait la night-watch »… Et j’ai pensé que, maintenant, chaque élément de chacun de nos dialogues, de nos échanges, de nos mots avec leur au-delà, avec chacun de leurs lieux, se conjuguent en un ensemble plein de sens, d’orientation, de plénitude. Un Enseignement, et une relance chaque fois plus soutenue et forte de mon travail.

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