Lettres à Divakar jusqu'à 2005

Enfin voilà. J’ai toujours, et de plus en plus de questions à te poser. Rien d’étonnant à ce que nos dialogues épistolaires en créent de nouvelles, chemin faisant, c’est le cas de le dire. Ah ! Ce chemin ! Aussi, tu me parleras du quatrième ange. Et puis quand même, encore, de ton expérience physique. Je suis toujours en partage avec toi. Je pense que ceci est une dernière lettre avant ton arrivée. Entre temps, le téléphone… … Alors, pardonne-moi : je te dirai « tout » de vive voix. Cela dit je te renouvelle ma recommandation de ne pas te mettre en difficulté de quelque manière que ce soit par ton absence d’Auroville.

Plein, - que tu ne pourras pas tout tenir – de tendresse pour toujours et au-delà !

Colette.

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Après mon séjour en France Mardi 19 novembre 2002 10 h 45

Aimé,

Voilà… Je suis pleine d’émotion. J’ai avec moi cette sublime tête de Buddha que tu as choisie et ces mots qui nourrissent mon cœur, qui me donnent tant de bonheur et de confiance et de gratitude. J’ai tant de délicieux souvenirs de ces jours heureux et pleins – ton aide, ton attention pas à pas… ! J’ai ce Tendre Chemin.

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