Lettres à Divakar jusqu'à 2005

Voilà. Je prépare doucement le départ : rendez-vous pour la chaudière, le mazout, le jardinier, l’entrepreneur… et les valises. Nous rentrons en deux étapes : à mi-chemin, Le Mans. Je crois qu’on parlera bientôt de l’horizon novembre ?! Je t’embrasse avec tellement plein de tendresse et d’accompagnement ;

Colette.

***

Vendredi 13-9-02

Aimé,

Ce sera un tout petit « tout » vu une certaine urgence. Je répondrai plus tard à ta belle (à tous points de vue) lettre dans cette belle enveloppe ! Ça, voir « mon » banyan, compagnon du Matrimandir… et mon cœur a eu quelques battements supplémentaires ! Urgence, donc : ci-joints 80 euros pour le cas où (on aurait une panne en allant te chercher à Roissy)… + je t’adresse aujourd’hui en virement télégraphique… Bonne occasion pour te casser les pieds un instant : tu auras bien la nécessité d’aller à Pondicherry, alors, la banque ! Si j’ai bien compris, ils ne t’envoient pas de relevés réguliers… alors demande au moins où en sont tes comptes actuels… Lorsque tu me dis qu’à ton avis il y a de la marge, ça ne m’avance guère… J’ai à établir quelques prévisions, rendues obligatoires par les dépenses aux Prévôts – le nouveau chemin, le tout à l’égout, + taxes, raccordements, nettoyages, etc. Bon. Alors, tu vois, ça m’éclaircira les idées.

Naturellement tu organises ta venue en novembre aux dates qui te conviennent. Je ne veux pas que tu aies le moindre

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