Lettres à Divakar jusqu'à 2005
Vous le savez évidemment, mais je me pose toujours la question sur vos possibilités concrètes de lutte, à inventer au besoin. … Dimanche je téléphonerai à Jean Yves pour avoir de tes nouvelles. … Je sais que tu as tes chemins dans les moments de dysharmonie physique et je me sens toute empêtrée avec les recommandations que j’aurais envie de t’adresser – et que tu connais sûrement ! Et je ne veux à aucun prix alourdir ton travail ! Un jour, plus tard, si cela te parait possible pour toi, ou justifié de le faire, peut-être me diras- tu comment tu auras « traité » ce – comment l’appeler ? – symptôme…
Colette.
***
Lundi 27-5-2002
Aimé,
… Sur mon bureau un bouquet d’œillets de poète, pour faire suite au tien. Et je suis tranquille, confiante, « au travail »… T’accompagnant dans le tien propre, t’accompagnant aussi, bien sûr, dans cette expérience physique inattendue, pénible, douloureuse dont je sais que tu en apprendras beaucoup. Expérience certainement adoucie par la présence de tous tes anges gardiens, merveilleux ! Qui m’ont ainsi aidée, à distance, et tout près, par leurs messages. … Téléphone de Barbara et de John, à l’instant : de nouveau tes anges, et Kusum chantant doucement ; tous, et ton visage qui s’éclaire.
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