Lettres à Divakar jusqu'à 2005

… Je vois demain Auro Luigi…

… Je t’aime. Je suis avec toi et souvent je suis à Sincérité si réellement que c’en est … je ne sais quoi d’ailleurs ! Tendrement,

Colette.

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4-8-83

Aimé,

J’ai dû retarder de deux jours ma lettre ! Jérôme d’Astier était à la maison…

… J’ai donc 3 lettres de toi auxquelles je vais pouvoir répondre (et je suis toute émue des choses si douces et si gentilles pour moi que tu m’écris). J’ai bien lu et relu, déjà, tout ce que tu penses, ressens, tout ce que tu vis, expérimentes, à partir de ta situation (et de votre situation Gérard et toi). Et la manière dont tu la vis, la place que tu lui donnes. Je dirais plutôt : le travail que tu accomplis pour éviter de poser cette situation en des lieux trop restreints, étroits, trop mentalisés. J’apprécie beaucoup, beaucoup la finesse et l’intelligence, et la justesse, la sensibilité, l’amour qui sous-tendent et dirigent ta lutte – laquelle, je m’en doute, ne doit pas être toujours facile ! Et tu le sais, je t’accompagne pleinement sur ce chemin où tu m’apprends en même temps beaucoup !

… D’autres choses à te dire – dans ma prochaine lettre ! Ici la maison est belle, ouverte, reposante.

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