Lettres à Divakar jusqu'à 2005

Voilà pour aujourd’hui. Quand même, je reprends mes « pavés » - en voilà un qui n’est pas mal ! J’espère qu’il est digestible !

Je tiens bon pour les petites marches.

Avec un plein, plein de tendresse,

Colette.

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Journal, En cheminant Samedi 14-12-2002,

Aimé,

Tout d’abord j’ai reçu hier le 13 ta première lettre, du dimanche 1 er . Alors : je suis immensément contente de tes précisions sur la perception directe ! Si tu savais, justement, comme elles sont claires ! J’en avais besoin, je me rends bien compte à quel point ; d’autant que j’en voyais en maintes occasions l’effet, les effets, sur toi. Et d’autant plus besoin sans doute que ces années auprès de René ont mis à épreuve mes capacités de « travail » ! Je prends d’ailleurs conscience à l’instant combien ma notion de « bonne distance » est insuffisante par rapport à ces deux étapes (la neutralité au lieu de l’identification à…, et l’universalité). A la rigueur, la neutralité ça peut marcher, mais le corollaire universalité est une sorte de mesure, d’évaluation, de correspondance nécessaire et finalement d’homogénéisation, d’harmonisation avec la première étape.

Je suis convaincue qu’à mesure de ce progrès on puisse atteindre à une sécurité intérieure efficace, et pour tous.

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