Lettres à Divakar jusqu'à 2005

m’as devinée, tu as pris si gentiment les devants… Je te dis : un amour que tu es ! Alors, on retourne à Montmartre !

Oui, et justement ce matin à quelques minutes du réveil, j’ai cru comprendre ce que tu as voulu me dire hier : qu’avec ma réponse au sujet de la mère physique et de l’expérience que tu en as faite pendant ta maladie, tu pensais t’être insuffisamment exprimé. Si donc je comprends bien, je t’ai répondu par une dérive : la mère individuelle … et moi en conclusion ! Alors qu’il s’agit de la mère universelle ? (je ne me situe pas encore très bien, et use facilement de mes notions immédiates). Cependant je pense de pas m’être trop fourvoyée, et que la façon dont je vois cette mère individuelle porte la marque d’une « Mère physique » englobante à laquelle elle répond selon son degré d’évolution (d’où une mère insuffisamment ou suffisamment bonne…). Cela dit, tu ne perdras jamais ton temps à me familiariser avec les étapes du physique, du subtil, du mental, etc. (Note : mon expérience avait trait à la Mère Nature physique universelle, terrestre en tout cas, et plus particulièrement aux moyens qu’elle avait évolués dans l’espèce humaine pour l’entretien de son existence physique et matérielle ; cette expérience était intimement liée à l’existence et la vie des jardins du Matrimandir dont Mère avait parlé à plusieurs reprises, et à leur rôle et leur fonction dans la nouvelle création…) … Comme je te l’ai dit, j’ai ouvert grand les yeux en lisant que mon exercice de remonter le temps, eh bien, tu le pratiquais ! Ça me fait grand plaisir, vrai ! D’où ça vient, cette similitude, car d’après mon expérience avec les patients ce n’est pas chose courante semble-t-il. Mais tu as une expérience … que je ne vois pas comment mettre en œuvre pour la remontée dans le sommeil avec les rêves qui l’habitent. Ma pratique … me permet, à partir d’un petit signal, de remonter méthodiquement le temps juste avant, ou bien

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