Lettres à Divakar jusqu'à 2005

forêts et démoli nombre de bâtiments et abattu quantité de pylônes dans toute la France…) …

Colette.

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Mardi 25.1.2000

… Le Matrimandir. Il est évident … que je préfèrerais t’y savoir de nouveau actif, c’est-à-dire en accord. Déjà tu t’en étais retiré en partie pour revenir sous la pression des demandes de l’équipe. Ce qui n’a pas pour autant changé les choses d’après ce que tu me dis. A l’occasion, ce qui veut dire si tu as le temps (et l’envie) dis-moi succinctement les bases de ton désaccord avec l’orientation, que je n’ai guère les moyens réels d’imaginer, des « responsables »… … Le corps. J’ai mal, ou incomplètement exprimé ce que je ressentais de cette nécessité d’avoir une « politique » de santé ; c’est exactement ce que toi-même m’en dis clairement, ce qui me soulage ! … Cette politique, je la prévoyais, indistinctement encore, ainsi que tu me l’écris : « une participation à un équilibre plus conscient et générateur d’harmonie… … Franchement … il me vient à l’idée que c’est bien gentil et satisfaisant pour moi de constater mon ou mes évolutions au fil du temps et de mon chemin. Mais il m’apparaît que c’est un peu mineur en quelque sorte, et qu’il me faudrait monter d’un étage de plus … (bonne image quand on songe que nous en avons pour 2 mois ½ sans ascenseur… !) … Cette impression de devoir accéder à un niveau différent de mes habitudes – ou même des « tics » de vie courante – m’est également dictée par ta réponse à mon « jeu » qui t’a rendu coi. Qu’il t’ait rendu « coi » me rend « nunuche » devant celui-ci … plutôt naïf et saugrenu, n’est-ce pas ?!

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