Comment L’appeler?

Et ces difficultés sont multiples et intenses – et impitoyables : car c‟est l‟expression de tout ce qui se refuse au changement, tout ce qui veut coûte que coûte préserver le statuquo, tout ce qui s‟accroche à une forme d‟identité atavique.

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Ce corps est le canal, le conduit et le site de la joie divine dans la Matière. Nous n‟avons de cesse de l‟oublier : seule la gratitude en nous, lorsqu‟elle s‟éveille, s‟en souvient et retrouve l‟expérience et la réalisation de la raison d‟être de ce monde – et de la place de l‟humain dans cette quête essentielle. Oui, nous sommes humains et ainsi, bien naturellement, nous sommes anthropocentriques : nous projetons sur le « divin », ou sur la Conscience la plus haute, la Conscience Suprême, - quels que soient les termes employés, il est entendu qu‟aucun ne peut être adéquat -, une semblance humaine. Pour déjouer toute objection à cette tendance « naturelle », il fut énoncé par certaines religions que « Dieu créa l‟homme à son image » : ainsi la ressemblance était le résultat de Son choix et traçait pour nous le seul chemin légitime vers la perfection…

Même si nous parvenons à dépasser une première sublimation de la figure humaine et accédons à un état de conscience

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