un autre choix

Et puis, peut-être ce matin d’hiver, la sœur d’un voisin absent nous demande gentiment de garder pour lui un sac de livres et, alors que nous les déposons sur la table dans l’entrée, un titre attire notre attention et nous prenons ce volume entre nos mains et l’ouvrons et ce que nous lisons nous inonde soudain comme un torrent de sécurité retrouvée : nous ne sommes ni fous, ni seuls !

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De nos jours, nous pouvons par quelques touches de la « souris », usant d’associations de mots ou de sujets de recherche, accéder sur Internet à ces pages.

C’est une méthode instrumentale qu’a découverte le mental pour inventorier et répertorier l’information à l’échelle terrestre et.la mettre instantanément à la disposition de tous.

Mais le mental est lui-même un instrument – il n’est lui-même qu’un instrument de la conscience : si et quand nous oublions ce fait, nous nous livrons à sa merci.

Car, séparés de la conscience, ses fonctionnements tendent à niveler toutes les connaissances sur un même plan : les dimensions alors nous échappent et nous sommes réduits à son compte et à ses mesures et davantage aliénés de la force même de la conscience.

Ce n’est qu’en accédant au mental supérieur et en s’y établissant que l’on peut préserver la perception de la vérité profonde des êtres, des énergies et des choses.

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Chaque époque a eu ses dangers.

La nôtre a tous les dangers accumulés se joignant à des dangers jamais encore rencontrés par l’humanité évolutive, comme si toutes les contradictions possibles devaient se présenter ensemble à cette Force-Conscience qui travaille au cœur de tout.

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