un autre choix

Quelles que soient les occasions et les circonstances, à chaque fois que nous nous sentons tenus, comme poussés de l’intérieur, à prendre position non plus pour notre étendard identitaire mais pour une vérité ou une nécessité plus grande et à nous tourner vers une stature universelle de la personne humaine, nous acceptons alors d’être mus et animés par une autre nature.

Une autre densité de la conscience.

Presque un autre air.

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Prendre le parti de la Liberté : la liberté de grandir et de progresser par l’expérience, la liberté d’affirmer ses choix de vie.

Prendre le parti du Respect : le respect de chaque être et de chaque force, puisque l’Un se trouve au centre de tout ce qui est.

Prendre le parti de la Vérité : la vérité comme loi du progrès, la vérité comme fondation et force de tout devenir et de toute harmonie.

Telles semblent être les lois inscrites sur le seuil de cette autre nature.

Et, lorsque le contact s’établit, si momentané soit-il, il nous apparaît clairement que seul l’apprentissage de ces lois, de cette autre nature, pourra nous rendre capable d’aimer.

Car notre amour aussi est l’otage de la mort.

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