un autre choix
« Mourir à la mort »
Que projetons-nous de notre présente condition, de notre présent entendement, de notre présente compréhension de la matière et de la vie, lorsque nous pensons à la possibilité future de s’incarner consciemment dans ce monde matériel, d’y participer pleinement à volonté, de s’en retirer partiellement ou entièrement à volonté, selon les nécessités du travail et du cheminement ?
Comment les processus biologiques de la naissance et de la mort du corps peuvent-ils être remplacés par des processus de formation et de défaite ou de retrait qui seraient directs ?
Comme il est signifié par l’ancien terme sanskrit, « Svarupam » = qui se forme de soi-même ?
Sans intervention autre que celle de la conscience même, sans agent, sans instrument ?
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Il semble que dans un premier temps l’on doive apprendre à défaire l’assujettissement de nos cellules à la mort en unissant la conscience cellulaire à la conscience de vérité et à sa coulée.
Où commence la mort ?
Quelles sont les lois qui régissent encore nos cellules et en font les esclaves de la mort ?
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Nos cellules peuvent-elles dés maintenant apprendre à recevoir la conscience de vérité et à s’y donner, ainsi l’incarnant déjà un peu ?
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