un autre choix

Si nous nous souvenons de nous tourner vers l’Autre, nous éprouvons la promesse d’une profondeur et d’une densité d’or à jamais. Et une condition est alors énoncée : « je ne peux t’aider et te guider que si tu te libères de toute peur et me choisis ».

Si l’on croit à la Mort, l’infini devant soi est un néant, une éternité d’incertitude et de poids, une négation qui ne cessera jamais.

Si l’on croit à l’Autre, cet infini déborde de richesse, de la myriade de joie de l’un multiplié par l’amour pour toujours.

Au-dessus des trois, règne une pression égale et incompréhensible.

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