un autre choix

Le chemin d’œuvre

A la fois nous sommes entrés dans un nouveau travail et nous sommes devenus nous-même le lieu et l’objet de ce travail.

Tout est concerné.

Au fil de notre vie de chaque jour et des situations et des échanges qu’elle nous présente, ces mouvements, ces émotions et sentiments et impulsions, ces pensées et souvenirs, ces regrets et ces fantômes, ces désirs et ces formations qui se trouvent à leur tout stimulés, sont vus et saisis et essayés.

Cela ne procède d’aucun jugement moral, mais de leur capacité propre à s’unir, à s’offrir, à évoluer.

Tout est peu à peu mis à découvert.

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Les sables mouvants du subconscient nous enserrent et nous aspirent jusqu’à la taille.

Les émanations du subconscient inondent nos rêves, lèchent les soubassements de nos pensées, pervertissent l’intention de nos sentiments.

Plus nous assistons à ces remontées de miasmes et de rebuts et plus nous avons le besoin d’une nature forte et unie, intègre et orientée.

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Par une silencieuse influence et perméation, peut-être proportionnelle à notre aspiration, s’opère une graduelle conversion de nos parts.

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