Un Parcours

Samuel

Colette m’écrit que Laffont a trouvé mon texte « trop original » pour sa collection ; Buchet- Chastel l’a trouvé « bien maîtrisé » mais… D.A. me raconte comment on les avait mis en garde à l’Association de Paris contre toute relation avec moi et Gérard me dit comme, depuis qu’il est rentré et m’a retrouvé, on lui fait la gueule. Suis-je donc une « force » ? Eh bien, qu’il en soit ainsi, tant que c’est tourné vers Toi, et advienne que pourra ! Mais comme tout cela est pauvre et comme ce militantisme est étroit ! C’est la veille de Noël et le soir, assis ensemble près du Banyan, Krishna me dit avoir reçu il y a un mois de Satprem un message lui enjoignant de rester à Auroville. Je trouve cette lettre de Krishna sur la table : « Divakar, je t‟aime. Aide -moi, aide- moi à t‟embrasser. Guide-moi et permet que je te guide, sois mon ami bien aimé et mon compagnon, joue avec moi. Krishna »

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