Un Parcours

Ainsi l’ engagement était déclaré, le jour de mes vingt ans, en présence de ma mère physique, par la Mère, par Elle, par Douce Mère, à Ses pieds, pour Leur travail sur cette Terre, pour un avenir de Vérité vivante et consciente dans des corps matériels capables de progresser.

Colette repartit en France, plutôt apaisée et, je crois, plus forte de sa rencontre physique avec Mère, rassurée de connaître mon environnement et le champ des activités qui s’ouvrait devant moi, mais tout de même encore un peu révoltée – pourquoi devrais-je être si lon physiquement ? Je crois que ce fut alors que j’eus une sorte de rechute ou d’alerte de jaunisse et que Françoise le mentionna à Mère qui m ’enjoignit de prendre une poudre ayurvédique très amère, Sudarshan Churna, et je me remis de suite ! Fabienne et moi allions toujours travailler au barrage de Forecomers et souvent y habitions, jusqu’à ce qu’il soit – apparemment – terminé (car il ne résista pas à la mousson suivante et il faudra tout recommencer !)

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