Un Parcours

spéciale réservée à l‟Agenda. Ce n‟est pas du tout une question de donner deux roupies ou deux mille roupies. C‟est la question de votre éveil matérie l au sens de l‟Agenda. Ce n‟est pas un superflu d‟argent que vous donnez, c‟est quelque chose d‟autre, qui ne se mesure pas numériquement. Pratiquement, matériellement, cette enveloppe peut m‟être envoyée ici, chez moi, si vous le désirez. Mais il faut que je vous donne quelques détails sur l‟organisation pratique de la distribution de l‟Agenda en Inde. Nous avons donc été obligés de constituer un organisme légalement enregistré qui s‟appelle : Mira Aditi Centre. C‟est cet organisme qui s‟occupe de l‟Agenda en Inde. C‟est Michel D qui s‟en occupe depuis le début et qui a fait du bon travail. C‟est son travail à Auroville, comme d‟autres s‟occupent des jardins, du Matrimandir ou de la cuisine. Par conséquent, finalement, cette enveloppe, je la remettrai à Mira Aditi Centre, aujourd‟hui et à l‟avenir. La Coopérative peut donc procéder comme elle veut : soit m‟envoyer ici ces enveloppes, soit les remettre directement à Mira Aditi, mais dans tous les cas, c‟est là sa destination finale. Et j‟insiste sur l‟anonym at nécessaire des dons. (Parce que c‟est une affaire directe entre Mère et chacun) Notre but à Mira Aditi n‟est pas seulement de régler tous les problèmes d‟impression et d‟édition des livres, il y aussi le problème de la traduction, et quelques êtres se sont consacrés à ce travail, également à Auroville. Et puis surtout, c‟est le problème de la publicité et de la diffusion. Là aussi, vous pouvez aider, chacun à votre manière, à répandre ces livres parmi vos amis et relations en Inde. IL FAUT, il faut que ces livres atteignent des milliers et des millions de gens : c‟est le salut de l‟Inde. Il y a donc ce problème publicitaire, si je puis dire, et de diffusion. Il est évident que pendant longtemps, notre entreprise sera déficitaire, mais certainement, peu à peu, ces livres doivent représenter une source de revenus matériels. Il a été décidé que tous les profits possibles de la vente de ces livres iraient à Auroville, comme tous les profits des autres activités

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