Lettres à Divakar jusqu'à 2005

J’étais ennuyée : la poste ne voulait pas le prendre, ni Auroville ni Kottakuppam ne figuraient dans leur nomenclature… Je me suis fâchée, et ils l’ont accepté. Mais ça m’a contrariée. … Jeudi prochain au retour de Bretagne je poste en recommandé … le rapport médical ! Ce qui s’est passé ? A notre retour ici, René me dit qu’il l’a perdu : « bel acte manqué », me suis-je dit sans étonnement. Puis j’ai pensé qu’en fait il avait dû rester sur le meuble dans la grande pièce ; et comme tu ne m‘en parlais pas, j’étais rassurée. Et voilà que, lui en parlant au reçu de ta lettre, René m’apprend : que non, non, non, il l’a retrouvé tout de suite (sans m’en parler) ; que oui, oui, oui il s’en est occupé, qu’il a les résultats (depuis bientôt 2 mois !) dans son tiroir, mais qu’il ne pensait pas que c’était important de les communiquer puisque tout va bien… ! Et là, je tombe dans un étonnement sans fin ! Il est vrai que, comme tu le sais, je suis une râleuse invétérée à propos de certains côtés de René. Et ces jours-ci j’ai imaginé que mes réactions répétitives ont de bonnes chances de s’assouplir avec les progrès de ma respiration. Pas impossible, non ?! Donc j’envoie, et le rapport médical de Pondy et la réponse du Service consulté ici. Ce que tu me dis de vos projets de nouveaux réservoirs m’intéresse à plusieurs titres, au point que voici quelques questions : « ensemble » ? Financièrement ? Matériellement (vos bras, vos mains) ? « Responsivement » (autrement dit, utilisation par chacun dans son propre environnement ? Où vont-ils être répartis ? Tâches et horaires des ouvriers partagés par tous ? Réduits ?

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