Lettres à Divakar jusqu'à 2005

toi – de lui expliquer, après coup peut-être, comment et pourquoi ce n’était pas ce qu’elle craignait. De le lui dire une fois, deux fois, dix fois : car savoir une chose et la vivre cela fait parfois une différence qu’il est long de réduire. Diane – dont je pense qu’elle n’est pas exempte de « cycles » - a sans doute besoin d’être rassurée. Dans l’état actuel de nos consciences – et je pense à Auroville aussi -, ce que je vois quotidiennement, c’est que chacun, quel qu’il soit, redoute de n’être pas ou plus aimé. Beaucoup à dire, évidemment, sur tout cela, avec un autre éclairage. Je sais. Mais il y a aussi de cela – que je viens d’écrire.

Es-tu retourné au Matrimandir ?

Comme je t’en ai déjà donné l’occasion, quand je commence, je suis intarissable ! Un 3 ème feuillet se prépare pour tout le reste (dont mon projet littéraire). Mais, imaginant que les enveloppes trop épaisses risquent d’être retardées en route, je poste déjà ces deux pages.

A tout de suite,

Colette.

***

Lundi 16-11-81

… Quelques points divers avant de m’engager dans certaines réflexions sur ce projet de livre – première clarification que tu m’aides ainsi à faire.

Pour le Jane Roberts.

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