Lettres à Divakar jusqu'à 2005

Maison de Sincérité, vers cette complémentarité pour l’équilibre futur. Une sensation très forte. A laquelle je savais que je devais obéir maintenant, c’est-à- dire tant que les moyens financiers me sont donnés. Et puis je sais que plus tard, pour toi, ce lieu te sera propice : non seulement avec tes résonances de toujours mais aussi l’aide qu’il pourra t’apporter selon tes choix ou besoins (location, vente, séjours, etc.). Chose frappante : René semble avoir été gagné par cet « état ». Il lui est arrivé d’aller, spontanément, au devant de certaines de ces réalisations dont il sent le besoin pour lui- même. Aussi est-ce le plus justement et naturellement du monde que nous partageons cette fois ces ultimes dépenses. … Je ne ferai donc pas d’économies cette année. Mais quel bon placement ! Quant à cette notion de partage avec René les choses sont de mieux en mieux à leur place : d’abord sous forme d’un legs, dont je t’ai parlé, mais… pas sûr que tu t’en souviennes ; puis d’une solidarité et communauté pour tous les « en cas de » de l’avenir ; et d’une autonomie dans le présent.

Vendredi

A propos de tes 3 dernières lettres :

L’anglaise – inutile de te dire qu’en la recevant j’ai aussitôt pensé « ça y est, je m’en doutais, il m’a fait le coup ! ». Après quoi, première lecture, 2 ème , 3 ème , rien ! Brouillard total. Aucun mot, aucun ! J’étais là, bras ballants, comme devant le pire des problèmes mathématiques… Et puis la soudaine « embellie » (un joli mot, non ?), à l’aide du dictionnaire pour les mots inconnus, j’ai tout traduit.

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