Lettres à Divakar jusqu'à 2005

Toutes les promenades préférées nous les avons faites – je ne vais pas te les ré énumérer !

Par contre, une révélation, tu vas juger : mieux vaut tard que jamais n’est-ce pas ; ainsi j’ai le bonheur d’avoir aux pieds pour les chemins boueux, les plages mouillées, les avancées de mer, de chauds bottillons en caoutchouc ; et pour les routes, le sable sec, des tennis particulièrement confortables. Alors j’ai fait à la vraie allure d’une vraie marche l’aller et retour, sans m’arrêter, de la grande plage de Paramé. Et tous les jours ainsi, de vraies marches. Chaussée convenablement j’ai découvert le plaisir de la marche et de l’élasticité du pas… Tout arrive ! Aujourd’hui, la marée étant propice, nous avons retrouvé le paradis des Ebihens. Et nous rentrons demain. ... J’avais emporté un peu de travail, mais je n’en ai rien fait, le temps a passé, bien utilisé.

… Embrasse Gérard et dis à Barbara que j’ai pensé à elle récemment.

***

248