Lettres à Divakar jusqu'à 2005

Et puis il est tellement évident qu’il y a eu, ce jour de leur départ, une conjonction d’éléments, de forces positives : quelque chose de joyeux et de léger, comme tu l’étais toi- même, flottait « dans l’air ». Et il est non moins évident que vous vous êtes mutuellement rassurés. Et quel grand enseignement : la possibilité que tout bascule du bon côté dés qu’on peut avoir un autre regard, un autre point de vue, une légèreté oui. Et je sens que nos deux maisons sont contentes, neuves, dans le jardin de Sincérité. Et c’est si gentil de me faire partager aussitôt ces mouvements « de la spirale ». Oui, je fais bien les exercices. Et même, depuis le retour des vacances, le besoin de marcher est apparu. Je ne regrette pas le temps que cela a mis : c’est pour moi le signe d’un vrai travail. J’aime que tu me rappelles à la recherche de cette unité avec le « fil intérieur ». Je crois d’ailleurs que ce que j’éprouve beaucoup en ce moment … tourne autour d’une « expansion » interne ; un espace qui se fait plus grand, justement. Green, d’autres choses encore dont je te parlerai, ont une autre place, je les perçois mieux, et me libère de … je ne sais pas encore très bien quoi ! En tout cas ça bouge ! Et maintenant, que je te raconte : depuis juillet je suis entre les mains d’un dentiste/stomatologue (spécialité de la bouche). Un homme simple, direct, doux, et très compétent. En juillet, soins du haut. Depuis septembre, le bas.

223