Lettres à Divakar jusqu'à 2005

Je pense quand même que tu les recevras, et j’aimerais bien. Mais en fait, c’est un peu comme si tu m’y répondais dans tes deux bonnes lettres. Je veux dire que tes progrès, ton évolution, ton travail actuels impliquent une résolution en mouvement, une conscience des conflits, que j’évoque justement dans une de mes lettres. Je suis profondément heureuse et satisfaite de tout ce que tu me dis. Et je pense que c’est une excellente solution si vos rapports à Diane et toi évoluent ainsi, chacun vivant librement dans sa propre maison. Aujourd’hui je veux, sans perdre de temps ni de place, aborder de manière précise, claire, ces points : les papiers de la Princesse ; et l’éventuel voyage à 3. … Papiers d’Ajneyam… Il te suffit maintenant d’aller au Consulat pour obtenir l’extrait de naissance (référence N°…). ( Détails pratiques) 1) Qu’étant donné ta progression actuelle, sur le plan individuel et avec Diane, il me semblait qu’un séjour en septembre risquait d’interrompre ce mouvement si neuf, ces premiers pas si importants. 2) Mais que, pour le cas où tu le maintiendrais, il me fallait prévoir certaines choses… (Tableau des possibilités les plus économiques…) … Et enfin … je le dis quand même malgré l’absurdité et l’irréalité du propos : l’idéal, – si Diane reste dans son besoin – serait qu’elle patiente ; le printemps, c’est incomparable à toute autre époque (Paris, Bretagne, les Landes)… (Et donnerait du temps à Colette pour rassembler l’argent nécessaire !) … Voyage en France… Bon. J’allais justement t’écrire :

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