Lettres à Divakar jusqu'à 2005

un testament en faveur d’Auragni, elle présente, la rencontre avec l’agent immobilier pour la vente du 27, etc.

Voilà. Je t’envoies, te dis, toutes les tendresses possibles, pour toujours – et au-delà.

Colette.

***

10-9-04

Aimé, ta lettre !!

Tu ne peux savoir – sans doute si, tu le sais bien, puisque c’est elle que tu m’as écrite – à quel point elle m’emplit de joie et de confiance. C’est un encouragement plein de force et d’énergie pour que je continue à vouloir progresser, évoluer. … Je suis contente que tu évoques le brassage d’Auroville capable de modifier le statut actuel. Il est sûr qu’il existe puisque AV est toujours là depuis bientôt 40 ans envers et contre tout ce qui a eu lieu en matière de conflits variés – variés et pourtant toujours liés aux mêmes forces bien sûr ! … Tu me dis, à propos de tes maîtres en ordinateur, « même Gérard ! »… Gérard M. ? Il est revenu, s’installer ou de passage ? Et donc… il vient te voir… Mes points de suspension, un peu ironiques, veulent dire « quel courage ! ». Car je pense – ai-je tort, tu me diras – qu’il est forcément du côté des plus « forts »... Je suis convaincue qu’en Afrique il doit être plutôt du côté des rebelles, mais à AV c’est une autre affaire ! Gérard, sans sa présence physique, est un « faible » ; je revois nettement cette période où il accompagnait partout sans nous faire le

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