Lettres à Divakar jusqu'à 2005

Je dirais en attendant que c’est en tant qu’homme ET en tant que juif qu’il se situe face qu sionisme. Te dirai ce que j’en ressens.

… Détails pratiques…

Très, très tendrement pour toi, et vous, toujours,

Colette.

***

Le 15-11-82

Aimé,

Je viens de lire et relire ta lettre du 8… Et je remets à plus tard une course que je me proposais de faire pour passer avec toi ce court temps libre. Ces nouvelles où joie et peine se côtoient, je les partage profondément. J’ai du chagrin pour toi, pour moi aussi, de la mort de Kritu. Je te comprends bien. Je suis sûre, pour le cas où dans un avenir X tu voudrais un autre chien, qu’il te faudra en choisir un adulte. Déjà ici, il faut quantité de soins jusqu’à 1 an pour éviter ce qu’on nomme « la » maladie ; seuls y échappent les totalement bâtards ! Or le climat de l’Inde doit être pour eux un handicap considérable. Et dans le cas de Kritu il devait y avoir déjà un grand risque, puisque son frère vient de connaître le même sort. (Kritu était un chien berger de race)

Je ressens profondément aussi, bien sûr, ces douloureux obstacles entre Diane et toi.

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