Lettres à Divakar jusqu'à 2005

Vendredi 16-7-82

Aimé,

Et voilà que je la vois grandir, se développer, s’exprimer à travers ses manifestations variées – grâce à ta seconde lettre que j’ai lue tout à l’heure en rentrant. Quel amour, et quelle merveille ! Une petite « tousha » adorable … qui vous fait, je le vois, travailler à plein temps ! Imagine qu’après diverses difficultés de liaison, je viens d’avoir Francis et Christiane, l’un et l’autre ensemble au téléphone : ils sont en joie, charmés, heureux ; et je suis couverte d’embrassades à répartir ! Quant à la mère de Christiane elle m’a chargée de te dire son affection, en ajoutant : « il est toujours dans mon cœur votre fils ! ». … J’avais bien (profondément) lu dans ta 1 ère lettre le sens de l’Inconnaissable. J’aime qu’elle soit – comme le dit ta seconde lettre – une danseuse.

Plus tard

… Un grand problème : je ne sais pas dans quoi dort « boudou » ! Un panier ? Ou posée sur un petit matelas ?

… Détails pratiques …

Oui, Diane, ma joie et ma gaieté sont grandes – et grandissent avec cette petite existence dont l’énergie et la place sont immenses. Moi aussi, pour vous, j’ai hâte d’apprendre que la chaleur s’atténue.

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