Comment L’appeler?

Plus s‟accroît la complexité de la forme structurée, plus elle est contrainte à un constant changement – et plus les rythmes se resserrent.

D‟une seconde à l‟autre, notre corps se modifie.

Nos relations avec autrui aussi sans cesse se modifient.

De tous les rythmes qui ensemble scandent, animent et régissent l‟existence de notre corps matériel, celui par lequel nous prenons conscience du monde est celui de la rotation de la terre sur son axe, les vingt-quatre heures, le jour et la nuit, le sommeil et l‟éveil ; tandis que celui par lequel nous nous situons dans le temps, dans la durée de notre vie humaine, est celui de-là révolution de la terre autour du soleil, les douze mois de l‟année entière. Ainsi, en comptant le nombre d‟années, mesurons-nous cette durée de notre existence par ce que l‟on nomme l‟ « âge », qui nous situe entre la naissance et la mort : la croissance, la maturité et le déclin. C‟est ainsi, cela fut toujours ainsi, comment pourrait-il en être autrement ?

Mais pourquoi ?

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A bien des égards nous sommes, dans notre corps, prisonniers ou esclaves d‟une dictature inflexible : nos caractéristiques et nos traits, notre genre, nos atouts comme nos faiblesses,

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