Comment L’appeler?

Pourtant, Douce Mère mettait en garde : le passage du singe à l‟homme, qui s‟est effectué graduellement à travers diverses tentatives et lignées, ne demandait pas de quitter le corps organique animal, mais de l‟aménager et le développer selon des lois nouvelles d‟harmonie et de découverte, tandis que ce passage qui s‟ébauche à présent, de l‟homme à l‟être à venir, implique un saut évolutif plus radical hors de l‟animalité de l‟organisme actuel en une création cellulaire qui ne dépendra plus des mêmes lois. De plus en plus souvent, alors que Son corps apprenait à exister dans la certitude et la joie de la présence, Douce Mère se référait à un travail constant s‟effectuant dans un plan contigu au notre, presque aussi matériel, mais où régnait une liberté naturelle qui pour nous ici relève encore de la féerie.

Là, l‟éternel enfant s‟approche de la réalisation.

Mais cette communication, cette interpénétration exigent de nous, d‟abord et avant tout, une pureté absolue d‟intention et de don. Car nous sommes de toutes parts assaillis et envahis et influencés, sans cesse et sans répit, par toutes sortes de velléités et de formations qui veulent déterminer nos actes et nos vies, qu‟elles viennent d‟autrui ou d‟entités et de courants invisibles.

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Dans son yoga matériel, Douce Mère a découvert que le corps est doté de son intelligence propre, qui a jusqu‟à présent été

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