débâcle ou passage

Débâcle ou passage

(Débâcle terrestre ou franchissement et passage ?)

1

Introduction

Voici qu’il me faut récidiver.

A quoi bon, me dira-t-on ?

Qui cela touche-t-il et en quoi cela peut-il être utile ?

Les plus féroces critiques sont à portée de murmure : « tu peux bien t’offrir le luxe de te laisser croire porteur et chenal, fais donc à ta guise, cela ne change rien à rien quoique tu dises… ! » ; « tu es bien prétentieux, ne crois-tu pas, ne vois-tu pas que de meilleurs travailleurs exprim ent tout cela mieux que toi… ? »

Certains arts semblent mieux véhiculer les messages qui comptent, ainsi par exemple ce film de Yann Arthus Bertrand « Human » : n’est - ce pas l’offrande artistique par excellence, qui rend grâces à ce monde matériel où nous nous incarnons ?

Parmi nous tous vivent aujourd’hui … combien de « jeunes » ?: des milliards de cœurs, d’espoirs, d’attentes, d’efforts et d’élans et de peurs qui vibrent malgré la faillite environnante, qui cherchent l’indice, le ressort, le geste, l’exemple, chacun d’eux tourné vers quelque modèle, quelque figure s’animant sous les projecteurs comme un relais ou une promesse ou un réconfort, l’assurance qu’une percée est possible, que l’on peut être reconnu et trouver une place dans ce monde à la fois si familier et si étranger…

2

Oui, ce monde où parfois semblent régner la menace et l’hostilité, la haine et le mensonge, l’injustice et la faim, ce monde pourtant adorable et prometteur, auquel nous ne cessons de revenir, en quête de la réponse pleine, le pourquoi de ces multitudes, la naissance vraie à un amour qui ne trahira plus, ce monde impossible qui se rue vers le gouffre, avec sons et lumières, le mendiant et le richard sanglés à la même vitesse, ce monde, comment l’aborder si l’on doit y vivre sa vie ?

Il est bien clair que tout, dans nos sociétés, demande à changer ; e t ce n’est pas d’amélioration qu’il s’agit, mais de transition.

Ces derniers épisodes partagés d’un pays et d’un continent à l’autre ont mis en scène à la fois les prémisses des plus sinistres développements comme les intensifications d’autres possibles, d’autres déroulements et d’un devenir participatif où la conscience réunit ses enfants.

En chacun de nos corps s’incarne la consciente complexité de l’univers : nous sommes tous à l’école, des apprentis de l’Un.

Il y a quelque chose à « passer », de main en main, de regard en regard, de cœur en cœur, quelque chose qui se rit doucement de tous les prophètes réducteurs comme de tous ceux qui ont prospéré sur les cendres et les déco mbres d’hier et méprisé le berceau même qui les a accueillis.

Il y a quelque chose à « passer », un secret, un trésor qui ne prend pas de place et que chaque innocence reconnait, une

3

pépite de force magique qui peut tout transformer si l’on veut bien s’en remettre à ce qui la guide. Ils disent, tous ces prêtres grisés de pouvoir, que leurs solutions sont prêtes, mais leurs solutions sont des ombres empruntées à la vérité qui travaille : leurs nano particules et leurs intelligences démultipliées et leurs transports perfectionnés sont de grossières incompréhensions de la Possibilité de notre devenir et le monde qu’ils se proposent d’instaurer n’est qu’une coque sans joie, pour une fausse éternité.

Ces mots et ces phrases qui s’ensuivent sont chargés ; une ligne pourrait être « expliquée » par tout un chapitre, mais ce n’est pas nécessaire si l’on prend le temps d’y entrer.

Si en vous une clarté, une émotion, un appel s’ensuivent , alors transmettez- les, ne soyez pas blasés !

***

4

La graine du désastre

A ce jour, la population mondiale est estimée à 7.8 milliards et devrait atteindre 8 milliards en 2023 – d’ici trois ans.

***

Ceux qui disposent des moyens d’agir, ceux dont l’action influe sur le monde terrestre tout entier, ne sont qu’une infinitésimale minorité. Et pourtant nous sommes tous – humains, animaux et plantes – emportés.

Sommes-nous donc impuissants ?

***

Où se trouve, où gît le premier vice, la première déformation, la première tumeur dans le corps de l’espèce ? L’ enfant qui se tient encore droit peut-il voir, au travers du vacarme arrogant du temps immobile, le temps des âges confondus par son regard encore clair, peut-il voir la racine de cette croissance dévorante ?

***

5

Où se produisit le premier geste porteur ?

Dans quelle intention ?

***

Il y a bien sûr depuis que l’homme existe sur cette Terre la fourberie, la ruse, la convoitise – ainsi s’est toujours mesurée la rectitude, ainsi la dignité a-t-elle toujours commandé le respect, ainsi l’honneur a -t-il toujours été quelque part préservé, pour la survie du groupe.

Lorsqu’il a fallu guerroyer, apprendre à vaincre et dominer, et à se défendre, les stratagèmes sont devenus légitimes : la tricherie, la déception, le leurre et le subterfuge ont dû, parallèlement à la brav oure et à l’héroïsme, être cultivés.

Pour obtenir le contrôle des richesses et l’accès exclusif aux ressources premières, le calcul et l’audace, la rouerie et l’intrépidité, l’évaluation et l’aventure devaient bon an mal an se compléter.

***

Puis se sont édifiés les états souverains – et le mensonge a pu s’institutionnaliser, pour la sauvegarde de la nation et de ses intérêts.

6

L’espionnage et l’armée, la diplomatie et l’armement, toujours les deux bras de l’homme prétendent s’ignorer, pour le confort mo ral de ceux qu’ils servent. Plus la nation était puissante et soucieuse de sa position dans l’ordre du monde et plus ses ambitions devaient s’assurer des avantages sur les autres nations , avantages d’autant plus précieux qu’ils demeuraient secrets. Mais l’appareil social des limitations et des lois indispensables à la cohésion collective entravait jusqu’à récemment l’essor de volontés réellement séparées, indépendantes de la masse ; ce n’est qu’avec l’avènement du marché financier mondial que la poss ibilité d’agir impunément et de poursuivre des buts définis par-delà toute sorte de contrôle collectif a pu être saisie – à plus ou moins grande échelle et selon des motivations diverses. Jusqu’alors, seuls les gouvernements des « grandes puissances » pouvaient se permettre, parallèlement à leurs armées visibles, de secrètement financer et encadrer les recherches et les mises en application de méthodes, d’outils et de technologies qui leur assureraient, sinon l’invincibilité, du moins une capacité de riposte et une force de persuasion suffisamment impressionnantes en cas de conflit ; et bien souvent, les membres élus de ces gouvernements demeuraient relativement ignorants de l’ampleur de ces démarches dont les responsables se tenaient dans l’ombre des hiéra rchies.

***

7

Alors, et simultanément au grand essor de notre civilisation, l’exploitation cynique et utilitaire s’est grimée en une admirable vertu : l’ exploitation de la nature terrestre, l’ exploitation des secrets de la matière, l’ exploitation des sujets sociaux, l’ exploitation des autres – pour le bien de tous.

***

8

Ce choix

Nous pouvons dire, si le temps nous en est encore accordé , qu’il appartient à chaque être de choisir entre le pouvoir de se perpétuer et la capacité de devenir.

Ce sont là, en quelque sorte, les deux chemins qui s’offrent à nous aujourd’hui.

Le premier est celui de l’existence des individus séparés, séparés les uns des autres et de l’univers et cherchant les moyens de sans cesse améliorer, de parfaire et de pérenniser leur condition. Le second est celui de l’union vivante et progressive de chaque individualité véritable avec la conscience nouvelle qui est prête à s’incarner et prendre la charge de l’évolution terrestre.

***

Gardons-nous des élites et de leurs exclusivismes.

Toute élite porte sa propre malédiction.

***

Evidemment, les efforts qui sont requis selon que l’un ou l’autre de ces chemins est choisi, sont de nature et de qualité différentes.

9

Car le premier travaille à partir de la surface visible du monde, des êtres et des choses et tente de les comprendre et d’établir avec eux les meilleures relations possibles et les plus profitables, tandis que le second se tourne d’abord vers la présence immanente et travaille à en rendre directement conscient tout l’être extérieur , qui peut alors être éclairé et transformé.

***

L’évolution sur cette Terre est entrée dans un mode précipité ; ce n’est pas seulement une question de vitesse, mais de simultanéité : toutes les questions se posent à la fois et les conséquences de toutes nos actions sont actives en même temps, dans le même espace et pour tous ensemble.

***

Chacun peut observer et vérifier que tout choix individuel inévitablement et naturellement entraîne des conséquences matérielles et psychologiques. C’est là et c’est ainsi que l’on peut commencer de mesurer l’illusion de la séparation. Car il est en fait impossible de faire le moindre mouvement sans causer, influer sur, ou contribuer à un ensemble de facteurs constituant la réalité matérielle que nous habitons ensemble à chaque instant.

10

Nous pourrions croire qu’il ne s’agit concrètement que d’une sorte de loi mécanique presque infiniment complexe qu’il ne nous appartient aucunement de rendre intelligible : il nous faudrait donc seulement apprendre à nous diriger dans son réseau, comme il nous faut apprendre à nager ou à marcher et à nous déplacer corporellement dans le milieu matériel.

Cependant, à mesure que nos choix acquièrent plus d’importance sur notre parcours individuel et collectif, il devient possible d’évaluer le caractère et l’orientation particuliers de leurs conséquences.

Et la question de la responsabilité commence à peser.

***

Or il est relativement aisé d’observer une différence de qualité , une différence de sens et une différence d’influence selon que nos choix sont guidés ou motivés ou suscités par un chemin ou par l’autre. Les choix que l’on fait semblent générer, engendrer ou activer une logique particulière dans les circonstances, dont nous n’avons certes aucun contrôle, mais qui peut nous enseigner et nous instruire - et c’est ainsi que d’habitude nous ressentons le modelage que « la vie » effectue sur notre nature individuelle.

***

11

L’humanité aujourd’hui se départage.

Il y a le chemin de la croissance par les outils et le développement des instruments, dans l’intention de parfaire notre condition et d’augmenter notre maîtrise. Il y a le chemin du devenir par l’éveil de la conscience et la découverte de l’u nité de tout ce qui est – le but étant justement de s’offrir à un état d’union et de perfection intégrale et progressive se manifestant par son propre pouvoir d’existence.

***

Tant que nous sommes ancré et arrimé par l’ego, ce « moi » plus ou moins bien assemblé, nous ne supporterons pas le lever du voile : nous devenons fou, un organisme isolé à la merci d’un monde impitoyable, ou nous nous désagrégeons.

Pourtant, l’unité est un Fait.

Et si nous apprenons à nous en remettre à la Conscience qui habite et anime tout ce qui est, nous découvrons graduellement et progressivement un continuum en constant devenir, auquel chaque être est appelé à participer dans une évolution consciente.

***

12

Trouver le passage, ou tout recommencer ?

Affirmer et servir le chemin du progrès et de la découverte de l’Un –

ou accepter l’inéluctabilité de la misère et de la mort ?

Apprendre à s’unir, dans la perception et l’expérience mêmes du corps, à Celui qui aime et qui voit – ou se raisonner et se résoudre à l’inévitable et, en attendant, agir du mieux que l’on peut ?

Apprendre à déposer un à un dans le feu du Vaste tous nos besoins personnels quels qu’ils soient pour laisser place à la refonte d’un libre serviteur – ou retenir ce que l’on peut aussi longtemps que l’on peut sur le flot incontrôlable des phénomènes ?

***

Ce vieil homme édenté, est-ce cela que vous voyez ?

Ce squelette ébréché dans un sac de peau lâche et flétrie ?

Alors je m’excuse de vous imposer ce spectacle. !

***

13

Le sentiment dominant de l’existence corporelle est celui de sécurité.

Notre corps est notre demeure, notre refuge inviolable, notre lieu de repos et de renouvellement. Pourtant les aléas de la vie physique nous démontrent explicitement combien cette sécurité peut être menacée, compromise ou détruite en un seul instant et sans avertissement. C’est de cet aléatoire que tous ceux, épris de pouvoir, qui ont su accumuler d’apparentes richesses et toujours plus de moyens extérieurs, cherchent à se prémunir, sinon triompher.

***

Dans le passé historique des sociétés humaines, bien rares étaient ceux qui pouvaient exaucer tous leurs désirs : même un monarque pouvait avoir quelque scrupule à placer ses propres fantaisies avant les besoins de son peuple – bien que dans certaines cultures, l’ostentation et le panache soient attendus d’une personne déifiée. C’était le plus souvent dans l’ ombre portée des dirigeants que les fortunes pouvaient se bâtir, mais le risque demeurait d’être découvert et ruiné par quelque soulèvement populaire.

***

C’est en cherchant à identifier les faibless es (les besoins irraisonnés) de la grande majorité afin de les exploiter

14

invisiblement qu’une nouvelle sorte de profiteurs s’est développée jusqu’à l’avènement d’une espèce prédatrice affra nchie de toute morale ordinaire, et de sa puissance financière indépendante des nations.

***

La plus grande faiblesse, la plus commune et la plus persistante est la peur de la mort. Il y a bien sûr, une autre peur qui surpasse la peur de mourir, c’est la peur de souffrir.

***

15

Cette Nécessité

En tant qu’espèce, nous le voyons bien à présent, il nous faut tous apprendre la leço n de l’équilibre et du respect.

Au risque de périr tous ensemble et de ruiner cette tentative évolutive, il nous faut réaliser aujourd’hui la nécessité impérative de respecter l’équilibre d’une harmonie inclusive et progressive : l’harmonie de la Terre et de son milieu.

***

Notre surpopulation, la destruction dont nous sommes responsables par nos pratiques aveuglées, doivent être maîtrisées : ce n’est pas le monde extérieur qui doit être maîtrisé, c’est nous -mêmes.

Si nous manquons à cette discipline, à ce réveil, à cet engagement, nous légitimons les actions de ceux qui pensent avoir les moyens de remédier à une situation terrestre devenue intenable.

Nous sommes tous responsables.

Ce message devrait être diffusé dans tous les pays et dans toutes les langues.

***

16

Ce que la nouvelle conscience enseigne est d’abord que tout est d’égale importance. Tout est également important : le plus petit geste comme la plus grande entreprise. Chaque instant se doit d’être également traité : chaque instant compte également.

***

Toutes nos valeurs sont caduques.

***

Notre civilisation, nos cultures, sont fondées sur la dualité et le drame et s’en nourrissent. Mais l’on ne s’en rend pas compte, tant la substance même de notre expérience de la vie en dépend.

C’est pourtant le premier écroulement ou la première dissolution qui se produisent, dés que l’union intérieure s’établit : une formidable formation de drame se défait…

Dieux et démons, nos amours et nos guerres : une bulle crevée.

17

Le sourire seul demeure, de l’être qui aime et qui voit : dont l’amour est infini , dont le regard est neuf à chaque instant.

***

Il se passe à présent, dans la conscience collective de l’humanité, comme un premier décillement : le début d’une transparence, à mesure que toutes nos absurdités et tous nos mensonges se révèlent à tous. Quelles que soient les moindres forces en jeu, quelles que soient leurs intentions et leurs mobiles, tout contribue à cette réalisation partagée.

Le pire comme le meilleur sans le vouloir ni même le concevoir collaborent à un éveil de tous.

***

Car les intentions des uns et des autres se font explicites, puisque le temps presse et certaines sortes de révolte pourraient bien compromettre l’exécution de plans et de programmes pourtant bien conçus. Des révoltes, en effet, il y en a de toutes sortes : il y en a de sourdes qui abritent des abcès de rancœur et puisent à la violence du contraire, il y en a d’arrogantes qui se gorgent de vertus et d’indignations ; mais il y a aussi ces révoltes qui ne sont plus ni personnelles ni sociales, et qui demandent un don et une ouverture et un engagement et un appel : que la Vérité règne !

18

Ce sont ces dernières qui commencent déjà leur action, comme des braises vivantes dans les cœurs, des redressements silencieux dans les êtres, des regards qui naissent enfin.

***

Une fois que l’on est un peu débroussaillé, l’on devient capable parfois de reconnaître l’autre. Sans projection ni formation ni attente ni crainte : l’on reconnaît la personne qui est là. C’est comme une petite lucarne qui tout à coup s’ouvre hors de l’espace - temps, dans cette dimension d’éternité qui n’est pas ce que l’on croit avec notre intelligence, m ais beaucoup plus simple et tout à fait évidente. Alors, que chacun se hâte d’offrir tous nos fatras dans cette flamme joyeuse, afin de pouvoir bientôt trouver tous les autres en soi- même, afin que l’élan se communique, que la clarté se propage, que l’éveil se répande… ! Que chacun s’attelle à cette tâche si nécessaire : la vraie communication, directe, de Cela qui peut assainir ce monde et le guider vers la plénitude.

***

19

L’humanité bâillonnée ?

Quelle est cette veulerie en nous qui nous induit à l’acceptation inerte et peureuse ?

C’est là aussi que nous nous départageons : ceux dont la nature aspire – au progrès, à la vie véritable -, et ceux dont la nature redoute la mort et s’attache à ce qui lui est imparti.

Mais ce départage ne contredit-il pas justement l’aspiration vers l’unité, ne barre -t- il pas la route à la réalisation de l’Un ?

L’acte même, le mouvement même de choisir n’est -il pas aussi un acte et un mouvement d’exclusion ?

Non, il n’en est pas ainsi.

Que chacun suive son inclination , jusqu’à ce que son état de séparation devienne cendres, amertume et gloire creuse et qu’alors l’on se souvienne tous de la Source pérenne. C’est une part de soi qui demande le droit d’explorer cette séparation jusqu’à être directement confronté à ses pro pres créations.

Mais ce qui compte à présent, ce qui est crucial à présent, est l’équilibre et la proportion ; pour que ce monde si miraculeusement adorable non seulement puisse durer mais trouve sa véritable intégrité et sa vraie croissance, suffisamment

20

d’êtres conscients doivent se dresser et s’avancer à la prochaine étape de l’évolution par des moyens intérieurs directs et de conscientes conversions.

***

Comment se rendre compte, réaliser, comment devenir conscient dés maintenant, comment servir dés maintenant, se dégager de tout cet écheveau d’habitudes humaines et de cette poisse d’hypnose collective ? L’urgence d’un soulèvement silencieux semblerait int erdire toute pratique intensive d’une sadhana individuelle : il y a-t-il une recette, un code, un procédé élémentaire que l’on peut employer n’importe où, dans n’importe quel contexte ? Peut-être le plus simple est celui-ci : Respirez profondément et souvenez-vous – d’où venons -nous tous, qu’est -ce qui anime et soutient et énergise tout ceci, où sommes-nous destinés à nous rendre et que sommes-nous appelés à devenir (pour que tout ceci prenne sens) ? Faîtes-le aussi souvent que vous le pourrez et vous trouverez bientôt que toutes vos décisions et tous vos choix changeront de qualité et de direction et évolueront.

Telle est l’Aventure devant nous tous.

***

Divakar - (Auroville, le 31 Octobre, 2020)

21

aumsrimiraaravindayenamaste

22

Made with FlippingBook Publishing Software